{"id":226,"date":"2019-07-29T11:37:32","date_gmt":"2019-07-29T09:37:32","guid":{"rendered":"http:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/?p=226"},"modified":"2019-07-29T11:37:32","modified_gmt":"2019-07-29T09:37:32","slug":"quand-le-stress-nous-rend-malades","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/2019\/07\/29\/quand-le-stress-nous-rend-malades\/","title":{"rendered":"Quand le stress nous rend malades"},"content":{"rendered":"

Le stress en soi n’est pas une maladie. Il s’agit d’une r\u00e9action normale du corps face \u00e0 certaines situations impr\u00e9vues. Cependant, si le stress devient chronique, il peut engendrer des pathologies physiques assez graves. La communaut\u00e9 scientifique consid\u00e8re le stress comme \u00e9tant un facteur de risque de survenance de maladie. Focus sur ces maladies caus\u00e9es par l’\u00e9tat de stress.<\/p>\n

<\/p>\n

Les complications cardiovasculaires<\/h2>\n

\"\"Ces complications sont caus\u00e9es par la pr\u00e9sence d’ath\u00e9rome sur les art\u00e8res irriguant le c\u0153ur. En \u00e9tat de stress, ces art\u00e8res r\u00e9tr\u00e9cissent, ce qui peut provoquer un infarctus du myocarde. En 1950, les scientifiques am\u00e9ricains se sont aper\u00e7us qu’il existait un lien entre le stress et les maladies cardiovasculaires. Lors de leurs \u00e9tudes, ces cardiologues ont fait la comparaison entre le rythme de vie des patients en les cat\u00e9gorisant en deux groupes. Les personnes du groupe A sont celles qui stressent tout le temps. Ils consid\u00e8rent leur vie comme une comp\u00e9tition. Ceux du groupe B par contre sont plus d\u00e9tendus et introvertis. Au terme de l’\u00e9tude, les cardiologues ont r\u00e9v\u00e9l\u00e9 que les personnes appartenant au groupe A \u00e9taient plus susceptibles de contracter une maladie cardiovasculaire. La consommation d’alcool, de tabac et d’hallucinog\u00e8ne ont \u00e9galement \u00e9t\u00e9 prise en consid\u00e9ration. Afin de lutter contre cet \u00e9tat de stress permanent, les sp\u00e9cialistes conseillent l’application de technique de respiration sp\u00e9ciale. \u00c0 titre d’exemple, la respiration intermittente propos\u00e9e par le site https:\/\/www.lorisvitry.com\/<\/a> est une bonne alternative pour g\u00e9rer le stress. La respiration carr\u00e9e permet quant \u00e0 elle de lutter contre la crise de panique.<\/p>\n

Les complications psychiatriques<\/h2>\n

\"\"Le stress est \u00e9galement \u00e0 l’origine de plusieurs complications psychiatriques. Parmi elles, l’anxi\u00e9t\u00e9 est certainement la plus connue. Une personne atteinte d’anxi\u00e9t\u00e9 est en \u00e9tat d’alerte permanente. Elle vit avec un sentiment d’inqui\u00e9tude et de peur. L’anxi\u00e9t\u00e9 peut \u00eatre accompagn\u00e9e de trouble physique tel que des naus\u00e9es, des vertiges, et des palpitations. Lorsque ces troubles deviennent persistants, la pathologie est qualifi\u00e9e d’angoisse. Les phobies peuvent aussi \u00eatre influenc\u00e9es par le stress. Le patient souffre d’une peur irrationnelle pour quelque chose ou de certaines situations (peur des microbes, du vide, de la foule…). La phobie commence par le stress, suivi d’un choc psychologique et se termine par une crise de panique. Enfin, il y a la d\u00e9pression. Cet \u00e9tat est d\u00fb \u00e0 un stress prolong\u00e9 et tr\u00e8s intense. Une personne d\u00e9pressive se d\u00e9sint\u00e9resse de tout, se fatigue rapidement, est d’humeur maussade et peut m\u00eame tenter de se suicider.<\/p>\n

Les complications psychosomatiques<\/h2>\n

\"\"Sont appel\u00e9es complications psychosomatiques<\/a> les maladies, les troubles et les syndromes caus\u00e9s par un \u00e9tat psychologique. Il en est ainsi des troubles gastro-intestinaux, des maladies de la peau, du foie, du colon, de l’ob\u00e9sit\u00e9, et l’asthme. Si ces maladies ne sont pas li\u00e9es \u00e0 la pr\u00e9sence de virus ou de microbes dans l’organisme, on en d\u00e9duit qu’ils sont d’origine psychique. La colopathie, l’herp\u00e8s, les verrues, l’ecz\u00e9ma, les chutes de cheveux et la transpiration excessive peuvent appara\u00eetre en raison d’\u00e9motivit\u00e9 ou de contrari\u00e9t\u00e9.
\nEnfin, il a \u00e9t\u00e9 r\u00e9v\u00e9l\u00e9 qu’une femme en \u00e9tat de stress permanent peut \u00eatre atteinte de d\u00e9r\u00e8glement gyn\u00e9cologique. On constate un retard, voire une absence de r\u00e8gles pendant une p\u00e9riode assez longue. Il peut aussi causer la st\u00e9rilit\u00e9 d’un couple. Cependant, lorsqu’il est trait\u00e9, la st\u00e9rilit\u00e9 dispara\u00eet avec lui.<\/p>\n

Le stress entra\u00eene un diaphragme bloqu\u00e9<\/h2>\n

\"\"Pour s’en sortir, les gens essayent toutes sortes de th\u00e9rapies en oubliant d’agir sur le principal: leur diaphragme bloqu\u00e9<\/a>. En effet, un diaphragme m\u00eame l\u00e9g\u00e8rement tendu par le stress va avoir un impact n\u00e9gatif sur le corps, les \u00e9motions et l’esprit. Il est donc urgent d’apprendre \u00e0 bien respirer pour d\u00e9bloquer son diaphragme.<\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"

Le stress en soi n’est pas une maladie. Il s’agit d’une r\u00e9action normale du corps face \u00e0 certaines situations impr\u00e9vues. Cependant, si le stress devient chronique, il peut engendrer des pathologies physiques assez graves. La communaut\u00e9 scientifique consid\u00e8re le stress … Readmore<\/a><\/p>\n","protected":false},"author":1,"featured_media":231,"comment_status":"open","ping_status":"open","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"footnotes":""},"categories":[2],"tags":[],"_links":{"self":[{"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/226"}],"collection":[{"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts"}],"about":[{"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/types\/post"}],"author":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/users\/1"}],"replies":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/comments?post=226"}],"version-history":[{"count":2,"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/226\/revisions"}],"predecessor-version":[{"id":233,"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/posts\/226\/revisions\/233"}],"wp:featuredmedia":[{"embeddable":true,"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/media\/231"}],"wp:attachment":[{"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/media?parent=226"}],"wp:term":[{"taxonomy":"category","embeddable":true,"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/categories?post=226"},{"taxonomy":"post_tag","embeddable":true,"href":"https:\/\/www.psychologie-communautaire.fr\/wp-json\/wp\/v2\/tags?post=226"}],"curies":[{"name":"wp","href":"https:\/\/api.w.org\/{rel}","templated":true}]}}